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La Revue : Citus! Altius! Fortius!
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LES VALEURS DE L`OLYMPISME POUR LE JEUNE EUROPEEN




Citius ! Altius ! Fortius !



Le 2ème année , Le 1er no

DIE ABSAGE AN GEWALT

Gewalt gehört in all seinen Formen zum Leben dazu. Heute mehr denn je leben wir in einer Welt von Gewalt. Überall umgibt sie uns; wir alle haben schon eigene Erfahrungen sowohl mit körperlichen als auch seelischen Angriffen gemacht, teils von uns ausgehend, teils gegen uns gerichtet.
Massenmedien vermitteln uns täglich Gewalt aus aller Welt: Kriege, Gewalt in der Familie, Mord… begleiten uns jeden Tag. Vor einigen Tagen fand ein etwas raues Fußballspiel der österreichischen Nationalmannschaft statt. Die Medienberichte am nächsten Tag: "Brutale Attacken am Spielfeld…".
Warum also auch im Sport? Sollte er doch Ausgleich, der körperlichen Ertüchtigung und anderen noblen Zielen dienen. Nach einer Umfrage an unserer Schule, warum denn Gewalt im Schulalltag und vor allem auch im Sport existiert, gab es unterschiedliche Antworten. Bei den Kleinen (10 -13 Jahre) ist es die Tatsache, dass sie sich immer wieder in der Gruppe beweisen müssen und sich ihren Platz in der Klasse erst - mit den Fäusten- "erkämpfen" müssen. Dies war vor allem bei den Burschen der Fall. Bei den gleichaltrigen Mädchen war es eher psychische Gewalt.
Unser (Sport) Lehrer brachten zum Thema Gewalt interessante Aussagen:
Immer mehr Kinder sind Einzelkinder und haben somit eine normale Streitkultur (ganz normale Auseinandersetzungen, wie sie in Familien mit mehreren Kindern oft der Fall sind) nie gelernt und somit auch nie erfahren. Also haben junge Menschen immer weniger Erfahrung mit gewaltförmigen Auseinandersetzungen in spielerischer Form. Darüberhinaus wird im Kindergarten und in der Grundschule jegliche Rauferei, das übliche Kräftemessen sofort unterbunden. Umgekehrt wird dann, wenn es deftiger wird, oft weggeschaut, weil man Angst hat, sich zwischen zwei Fronten zu begeben. Mit diesen Aussagen versuchten wir das Phänomen der Gewalt an der Schule, im Schulsport, etwas zu erläutern. Es soll und wird ohne Zweifel auch in Zukunft so sein, dass ein jeder, der Gewalt in allen Formen ablehnt, ein vernünftigerer und wertvollerer Mensch für unsere Gesellschaft darstellt.

Schülerinnen und Schüler der 6. und 7. Klassen des Bundesrealgymnasiums und Bundesoberstufenrealgymnasiums- Landeck, Tirol, Österreich




LA NON-VIOLENCE

La violence - dans toutes ses formes- fait partie de notre vie. Nous vivons -plus que jamais avant- dans un monde de violence. Elle nous entoure partout ; nous tous avons déjà fait des expériences non seulement avec des attaques physiques mais aussi psychiques ; venues soit de nous ou dirigées contre nous. Les mass media nous informent chaque jour de la violence du monde entier : Des guerres, de la violence dans la famille, du meurtre nous accompagnent quotidiennement. Il y a quelques jours il y avait un match de football un peu dur et bourru de l'équipe nationale autrichiennne. La presse a écrit le lendemain : " Attaques brutales sur le terrain… " !
Pourquoi dans le sport aussi ? Ne devrait-il pas être détente, servir à l'éducation physique et à d'autres nobles objectifs.
Au sujet suivant on a fait un petit sondage dans notre école : " Pourquoi est-ce qu'il y a de la violence à l'école et surtout aussi dans le sport " ? Il y avait de différentes réponses. Chez les petits (de 10 à 13 ans) c'est le fait qu'ils doivent encore chercher et trouver leur place dans la classe ; ce qui se fait souvent avec les poings - plus souvent chez les garcons ; les filles du même âge se servent plutôt de moyens plus subtils.
Nos professeurs (de sport) avaient des explications intéressantes au sujet de la violence à l'école et au sport : Il y a de plus en plus d'enfants uniques qui n'ont jamais appris à se disputer, à se quereller avec les frères et sœurs de la famille - un fait tout à fait normal dans une famille avec plusieurs enfants. Alors les enfants ont de moins en moins d'expérience avec cette 'douce' violence. En dehors de ca, on met tout de suite un terme à toute bagarre enfantine au jardin d'enfants et à l'école élémentaire. Mais il est aussi un fait que, quand les problèmes deviennent plus rudes, on n'intervient plus ; de peur d'être pris entre deux feux.
Avec ces remarques nous avons essayé d'expliquer une petite part de la violence à l'école et au sport à l'école.
La chose suivante restera sûre et certaine : Ceux qui refusent toute violence, seront des êtres humains plus raisonnables et surtout plus précieux pour la société.

élèves des 6es et 7es classes du Bundesrealgymnasium und Bundesoberstufenrealgymnasium, Landeck, Tyrol, Autriche.




VIOLENZA CON ABITO SPORTIVO

Chi avrebbe mai immaginato che un giorno si sarebbero disputati incontri calcistici con stadi innaturalmente vuoti? Eppure è capitato : due squadre si affrontano e le urla dei tifosi arrivano ovattate , come da un mondo lontano. Un silenzio assordante che fa quasi paura e richiama sensazioni strane. Questo è il risultato di vari tentativi per ridurre gli episodi di violenza che ormai sembrano essere di casa. Cori razzisti , striscioni oltraggiosi o xenofobi , lancio di petardi e oggetti vari che con il passar del tempo si evolvono diventando sempre più pericolosi . Non calcolando poi le offese agli arbitri o le parolacce e gli sputi tra i giocatori : gesti vergognosi che gettano fango sull'immagine del tifoso sportivo. Quello che ci chiediamo è perché nonostante i biglietti personalizzati , le telecamere, il dispiego considerevole delle forze dell'ordine e il loro forte impegno, non si riesce ad arginare questo nefasto fenomeno. Supponiamo che il pretesto di tutto ciò sia dovuto alle frustrazioni accumulate , alla voglia di vittoria intesa come superiorità sull'altro , al razzismo , al più bieco dissenso politico . Basta tutto ciò per scusare o meglio non considerare nella loro gravità gli atti che vengono compiuti ? Sicuramente c'è qualcos'altro . C'è la voglia , soprattutto da parte di gruppi di giovani , di fare " un casino del diavolo"perché solo così si divertono. Insomma tutto, eccetto sport. Niente spirito sportivo, quindi niente fair play, nessun rispetto e soprattutto niente tifo sano che diverte. Come dire : " Che mondo sarebbe senza nutella ? " Che cosa è una partita senza il sostegno dei tifosi ? Senza la loro presenza scompare la magia del calcio ; e che calcio sarebbe senza magia ? La soluzione del problema sta nel fatto che bisognerebbe fare un lungo percorso per recuperare il vero spirito sportivo , quello spirito in cui lo scopo degli striscioni e delle ovazioni è incitare la propria squadra , non sminuire quella avversaria che è semplicemente un'avversaria e non una nemica . Ma soprattutto sarebbe ancor più importante recuperare lo spirito di "SAPER VINCERE CON LEALTA'E PERDERE CON ONORE".


LA VIOLENCE HABILLÉE EN SPORT

Qui aurait jamais imaginé qu'un jour se disputaient des matchs de football dans des stades innaturellement vides? Cependant il est arrivé : deux équipes se disputent et les cries des supporters arrivent ouaté, comme d'un autre planète .Un silence assourdissant qui fait presque peur et qui rappelle des sensations étranges. C'est le résultat des plusieurs tentatives de réduire les épisodes de violence désormais habituels.Les choers racistes, les banderoles outrageant ou xenophobes , le lancement de pétards et d'objets qui deviennent de plus en plus dangereux.Sans parler , ensuite , des injures aux arbitres ou les mots vilains et les craches entre les footballeurs: ce sont des gestes honteux qui gettent de la boue sur l'image du supporter sportif. Mais on ce demande pourquoi , malgré les billets pérsonalisés, les caméra de télévision, le grand déploiement des forces de l'ordre et leur engagement considérable, on ne parvient pas à contenir ce phénomène néphaste. On suppose que le prétexte de tout cela est dû aux frustrations accumulées, au désir de victoire entendue comme superiorité sur les autres, au racisme , au plus farouche conflit politique. Tout cela, suffit-il à excuser ou à ne pas considérer pour leur gravité, les actes accomplis? Il y à encore d'autres raisons , ça c'est sure . Il y à l'envie , de la part de certains groupes de jeunes, de faire " une bagarre du diable" puisque ils s'amusent seulement comme ça . Mais c'est où le sport? Nul esprit sportif , nul fair play ni respect et surtout il est impossible de tenir pour une équipes, seulement pour s'amuser. C'est comme dire " Quel monde serait-il sans le nutella?" C'est quoi un match sans les supporters? Avec ces limites il disparait la magie du football; et sans la magie, quel football est-il? La solution du problème est qu'il faudrait faire un long trajet pour récupérer le vrai esprit sportif, l'esprit dont le but des banderoles et des ovations est celui d'encourager son équipe et non pas un ennemi. Mais, encore plus important il serait de retrouver surtout l'esprit de SAVOIR GAGNER AVEC LOYAUTÉ ET DE PERDRE AVEC HONNEUR.

L' Ecole "G. Di Biasio ", Cassino, Italia




Lumière et pénombre en sport ? Non, nous cherchons seulement la lumière

Blanc et noir, ying et yang, lumière et pénombre, bien et mal, il paraît que chaque chose de ce monde ait son contraire pour pouvoir exister, même l'homme, comme disait Baudelaire a une côté diabolique qui met en évidence celle angelique. Il paraît qu'on vive dans un monde des contraires.
Est-il cette chose valable aussi dans le sport ? On parle souvent des beaux moments passés sur les stades, du sentiment supérieur de fair-play de l'égalité des chances entre les participants. Mais on doit regarder aussi ce qui se passe de négatif sur les stades ou dans les competitions sportives. Bien sûr , on ne se propose pas de promouvoir la violence mais de présenter un problème dont le monde évite à parler mais dont on doit reconnaître l'existence pour pouvoir l'éliminer.
Le sport signifie compréhension et tolérance, vivre en harmonie avec tout ce qui nous entoure. Le sport est celui qui étale ce qui est mieux dans une personne, ses vraies valeurs et supprime l'orgueil, les initiatives violentes et destructives qui font part de son côté cachée, négative. On considère l'homme comme une être supérieure, qui maîtrise ses impulsions, fait qui le diffère de l'animal. Au même temps il est obligé à respecter certaines lois et à se soumettre au contrôle de son esprit. Alors pourquoi, existe la violence ?
On peut dresser un inventaire impressionnant des causes qui déterminent les incendies des stades, les agressions, les injures adressées aux joueurs, aux arbitres ou aux autres supporters. Les ennemis de la bonne entente et du respect s'individualisent et sont présents presque dans chaque situation de violence : soit la consommation de l'alcool, soit les erreurs " innocentes parfois " des arbitres, soit l'implication de l'argent et des intérêts des puissants dans le destin d'un concours et on pourrait continuer ainsi à l'infini.
Même si les sanctions des autorités existent, elles sont impuissantes et dans la majorité des cas le phénomène de violence se répète comme rien ne s'était passé : amendes, éliminations, avertissements, mais rien n'est plus fort que l'impulse de l'homme d'exprimer sa colère.
Que doit-on faire alors ? Existe-il une solution valable ? Ne soyons pas pessimistes ! La solution se trouve près de nous ! Essayons d'ouvrir nos yeux, nos cœurs et percevoir le rayon de calme, respect, qui vienne de la vraie pratique du sport. Essayons d'être meilleurs et respecter la victoire de l'autre même si cela nous cause de la peine, n'oublions pas que le plus important est de participer dignement à une competition et ne pas de vaincre et nous allons être déjà un champion pas nécessairement sur le terrain mais dans la vie.

Barbu Manuela, Pu?cas Loredana, Pa?cal?u Florentina - Le Collège National " Simion Barnutiu ", Simleu Silvaniei, Roumanie




LA N0N - VIOLENZA

"La non-violenza è la più grande forza a disposizione dell'uomo. È più potente della più potente arma di distruzione ideata dall'ingegno dell'uomo. La distruzione non è la legge degli esseri umani". (Ghandi)
Un argomento che viene spesso sollevato contro la nonviolenza è che la violenza. Come mezzo per ottenere dei risultati, è efficace. Fa in altre parole sì che si ottengano le cose. Ma questo non è vero. Non sempre la violenza ha successo. La storia e gli eventi quotidiani illustrano ampiamente questo punto. Ogni volta che due fazioni violente si confrontano, ci può essere un vincitore, ma anche un vinto. La storia delle guerre dimostra questo fatto. D'altra parte, possiamo essere d'accordo sul fatto che i mezzi nonviolenti non ottengono sempre i risultati desiderati. Possiamo però sostenere con sicurezza che, ogni volta che è stata impiegata per raggiungere un obiettivo di grande importanza e durata, la violenza ha sempre fallito. Può aver ottenuto dei risultati iniziali, raggiunti, però, a prezzo di dolore e sofferenza (per i vincitori come per i vinti), finendo presto per passare in secondo piano rispetto alle conseguenze della violenza. La grande causa viene così, alla fine, tradita e sconfitta. Ad esempio, dopo una lotta violenta, può succedere, a volte, che nessuno rimanga vivo o in condizioni abbastanza buone da approfittare del successo. In altri casi, il dolore e la sofferenza inflitti ad altri e sopportati dal vincitore, lo privano di ogni gioia e soddisfazione. Per quanto riguarda la difficoltà di escogitare e mettere in pratica i metodi nonviolenti, e la stessa incontrata con la violenza. Inoltre, non solo una violenza che abbia successo non è così facile da portare avanti, ma bisogna pensare anche al dopo: come evitare le rappresaglie, evadere la legge, ecc., una preoccupazione che invece non sorge la nonviolenza. Più un paese è intelligente, più ricorrerà a tutti i possibili mezzi nonviolenti prima di farsi incastrare in un confronto violento. La violenza non può vantare nei confronti della nonviolenza alcuna superiorità rispetto al raggiungimento di obiettivi di lunga durata e grande importanza. La nonviolenza è per chi si interessa non solo del presente, ma anche del futuro della propria azione, non solo di ottenere le cose, ma anche del prezzo da pagare, non solo di raggiungere risultati, ma anche del loro fondamento morale. La nonviolenza rappresenta il meglio dell'essere umano, la violenza, il peggio. La scelta è chiara; sta poi ad ognuno scegliere la propria strada nella vita.


LA NON-VIOLENCE

" La non-violance est la force la plus grande que l'homme a à sa disposition. Elle est la plus puissante parmi les armes de destruction inventées par le talent humain. La destruction n'est pas la loi des êtres humains ". (Ghandi)
Un des sujets souvent soulevés contre la non-violence est que la violence, utilisée comme un moyen pour obtenir des résultats, est efficace. C'est-à-dire qu'elle fait obtenir ce qu' on veut. Mais cela n'est pas vrai. Pas toujours la violence a du succès. L'histoire et les événements quotidiens expliquent largement ce point. Chaque fais que deux partis violents se comparent, on peut avoir un gagnant, mais aussi un vaincu. Cela est démontré par l'histoire des guerres et des registres de la police remplis de cas qui mettent en évidence l'échec de la violence comme moyen. D'autre part, tout le monde pense que les moyens non-violents n'obtiennent pas toujours les résultats souhaités. On peut soutenir avec certitude que la violence a toujours échoué chaque fois qu'elle a été utilisée pour atteindre un but important et durable. Au début elle peut avoir obtenu des résultats , mais rattrapés avec douleur et souffrance (pour les gagnants et les vaincus), en arrivant à être moins importants des conséquences de la violence. La grande cause est, à la fin, trompée et défaite. Par exemple, après une lutte violente. Il y a plusieurs fois des morts ou quelqu'un qui survit et peut se profiter du succès, autrement, la douleur et la souffrance infligées aux autres et supportées du gagnant le privent des joies ou satisfactions. En ce qui concerne la difficulté d'imaginer et mettre en pratique de méthodes non- violentes, la difficulté est la même de la violence. Puis, une violence qui a du succès est difficile à conduire, mais il faut penser au futur : comment éviter les représailles, échapper à la lois, etc., un souci qui n'existe pas lorsqu'on utilise la non-violence. Plus un pays est intelligent, plus il recourrira à tous les possibles moyens non-violents avant de se faire bloquer en une confrontation violente. La violence n'est pas supérieur à la non-violence par rapport au fait d'atteindre les buts de longue durée et grande importance. Pour chaque moyen violent, on peut imaginer et essayer un moyen non-violent, avec des possibilités de succès pareil à elles (ou supérieures). La non-violence est pour ceux qui s'intéressent au présent et au futur, à son action, d'obtenir les choses et au prix d'elles-mêmes, à atteindre des résultats et à leur fondement moral. La non-violence représente le mieux de l'être humaine, la violence le pire. Le choix est claire ; mais chacun doit choisir le chemin le meilleur à suivre dans la vie.

Argese Va classico , "L. da Vinci " Fasano -Italia



ANECDOTE DE L'ITALIE

Qui va avec l'empan apprend à boîter (Chi va con lo zoppo impara a zoppicare) Qui va doucement va d'une manière sain et va loin (Chi va piano va sano e va lontano) Les faits de la marmite il les sait, le couvercle (I fatti della pentola li sa il coperchio) La goute creuse la pierre (La goccia scava la pietra)

Vito Belfiore - IIa classico - L. da Vinci - Fasano- Italia




La Tolerance

La Tolérance c'est une valeur morale. Cette qualité est propre aux hommes qui se sont crée un système de valeurs. Il est impossible d'être un home plein de prejugés, sans moral et une idée claire de sa propre valeur et d'être tolérant envers les gens de ton entourage. Etre tolérant ça veut dire d'estimer l'opinion des gens de ton entourage de les écouter, d'essayer à comprendre leur point de vue au sujet de différents problèmes. Même s'il ne coincide pas avec le tien. Voilà pourquoi nous sommes différents les hommes-chaque homme est un petit monde, quelque chose d'unique. On ne peut pas et il n'est pas nécessaire de concevoir les choses autour de toi de la même manière. Alors ce serait trop ennuyeux. La tolérance s'exprime dans le cas ou on respecte ou on comprend pas l'autre opinion qui diffère de la tienne. Dqns la tolérance il est indispensable d'accepter les différents styles de musique. Pourquoi beaucoup d'artistes pop se moquent des artistes folk? Pourquoi montrent-ils de l'indulgence par rapport à eux. Je pense que si les députés du parlement possédaient cette qualité, nous ne serions pas si souvent temoins de leurs disputes. La tolérance doit aussi exister dans les rapports entre les Bulgares de divers origines ethniques. De cette façon chacun aura le sentiment valable d'être citoyen de la République de Bulgarie indépendamment de sa nationalité et culte. Et vraiment c'est très important pour chacun d'entre nous d'être respecté et apprecié et non pas humilié et insignificant. D'après mon oppinion, la tolérance c'est une qualité qui peut rendre les hommes meilleurs plus souriants,plus heuruex. Que nous tous nous en chargions.

Dimitar Tzoutzouv- Ecole :Christo Botev", Sliven,Bulgaria




Bellum omnium contra omnes

Quand un jeune homme est brusqué dans la rue, ça c'est de la violence; quand le portfeuille du viellard du metro est volé, ça c'est de la violence; quand un enfant jette l'emballage de son chocolat dans un parc, ça c'est de la violence, quand un paparazzi traque une personne publique non-stop, ça c'est de la violence; quand un homme assassine un autre pour sauver la vie de sa femme, ça c'est de la violence; quand un criminel est condamné à mort, ça c'est de la violence; quand un hacker invente un nouveau virus, ça c'est de la violence; quand quelqu'un me dit que "c'est seulement avec le yogourt qui contient des bacteries actives de fermentation qu'on peut avoir une famille heureuse", ça c'est de la violence. Qu'est-ce que la violence? Enfin , qui décide ça? La loi? L'éthique? Chacun de nous? Le plus probable que c'est une combinaison du tous les trois.
La violence peut être regardée de deux points de vue. Du point de vue de la personne qui souffre à cause de la violence et du point de vue de la personne qui est violente. Lequel êtes-vous? Si la réponse ne vous arrive pas dans les premières secondes c'est simplement parce que, probablement, il n'y a pas au moins deux personnes qui n'ont pas utilisé une certaine forme de violence. Je peux te dire que tu as été, es et seras violent toute la vie sans analyser ou classifier seulement pour une seconde ce que tu fais. Tu es violent avec les personnes de ton entourage quand tu n'acceptes pas leurs opinions, n'importe quelles soient leurs explications, quand tu es intolérant avec certaines classes sociales ou même avec ta famille, quand tu donnes un mauvais exemple, même si tu ne te rends pas compte ou quand tu achètes un spray à l'aerosol. Toutefois, je crois que le plus triste est le fait que la personne de laquelle tu abuses le plus d'une ,manière intelligente et, pratiquement, incombatible, es toi-même. Jour après jour tu t'efforces de correspondre à un certain idéal que tu t'appropries n'importe quoi il signifie. Pense à ton enfance. Tu te rapelles les idéals que tu avais quand tu étais petit? Probablement qu'ils étaient les projections minuscules du monde que tu voyais à ce moment-là. Plus tu découvres le monde, plus tu te rends compte que rien n'est si simple comme tu croyais jadis. Maintenant regarde ta vie ! Un échange accablant. Il a été nécessaire que tu te transformes - c'est le seul lieu ou on pourra trouver des circonstances attenunates - parce que la vie en tous ses aspects a eu un impact très violent sur toi et un échange a été nécessaire pour que tu lui tinennes tête.
Faison une connexion avec un domaine différent, l'art. L'abstrait qui apparait dans la peinture, par exemple, provient justement de cette conscientisation de la violence cachée qui manipule et transforme les hommes, en créant des clichés qui tournent la vie dans un simple code. C'est pour cela que les hommes ne sont plus les êtres capturés dans les scènes quotidiennes des peintures du 17ème siècle, mais seulement des pictogrammes surprises ironiquement dans des moments banales de la vie. La raison a des corespondents concrets, comme dans les oeuvres de Rennee Magritte, par exemple, pour attirer l'attention et pour tirer un signal d'alarme.
Les blessures, donc, laissées par la violence desquelles nous ne sommes pas conscients mais qui représentent une constante dans nos vies, sont plus profondes que celles sur les genoux d'un enfant qui est tombé dans le parc. Les cicatrices n'apparaissent pas sur notre corp, ni même dans notre regard, parce que la violence qui les provoque est imperceptible. Elles se repandent dans notre subconscient et nous envoient des signalaux contradictoires. C'est tout comme regarder le téléshopping et être convaincu d'achêter un "merveilleux" aspirateur portable qui se revèle, quand on arrive à la maison, être inutile et détérioré. On est fait à croire que certaines décisions de notre vie serons utiles parce qu'elles sont présentées d'une manière brilliante. Ca c'est la violence: l'inoculation d'une image - stéréotype aux hommes pour les transformer dans des gens facilement à controller et à manipuler.
La violence la plus dangereuse au XXI siècle n'est pas la violence physique, même si cela est aussi très importante, mais celle spécifique à la société de consommation. L'homme devient un simple consommateur, la pensée et l'esprit sont modifiés à un niveau tant haut que son image effraye, scandalise, déçoit.
C'est inutile de dire que, généralement, la violence provient de l'insécurité et de la crainte des gens et que, pour les victimes, elle a des conséquences pour toute la vie, qu'il y a des situations quand l'usage de la violence est controversé (comme, par exemple, la meurtre d'un homme qui a assassiné quelqu'un), que le cercle vicieux de la violence ne peut être détruit que par l'entremise de la non-violence ou que les gens se détruisent parce que, sans tenir compte du rapprochement entre eux, une empathie et un entendement parfaites n'existerons jamais. Il y a beaucoup de cas qui ont confirmé cela: les guerres, politiques ou réligieux, éclatent à cause d'une certaine crainte; l'assassinat de Nicolae et Elena Ceausescu est encore contesté; Hitler a eu un père distant et violent, Kurt Cobain était abusé, dans le lycée, par ses camarades, Jim Morisson a été considéré une idôle pour les jeunes des années '60-'70 et, toutefois, sa vie a eu une courbe descendente; la même chose s'est passée avec Marilyn Monroe. Parce que personne n'est invulnerable devant la révélation de la vérité.
"Bellum omnium contra omnes" n'est pas une expression désuète, caracteristique seulement à une catégorie des gens. En luttant pour réaliser son profit, l'homme ne comprend pas qu'il travaille au désavantage de lui-même. Sur le plan physique peut-être qu'il y a un certain progrès. En revanche, sur le plan mental il y a une involution permanente. L'individu se cantonne dans des apparences, des "trends", dans la médiocrite, il devient moins l'homme qu'il doit être, comme dans "La ferme des animaux", de George Orwell, mais dans la direction contraire.Quand la publicité te manipule à utiliser un bouclier d'objets matériaux pour te protejer de la vraie vie et, éventuellement, de la pensée individuelle, quand un modèle de vie offre un exemple négatif, en promouvant la culture de la médiocrite, quand l'individualisme, la créativite et la pensée différente de celle des autres peuvent ou ne peuvent pas être "trendy", le problème de la violence physique ne devrait plus se poser. Parce qu'elle n'est pas la plus grande menace. Et le plus triste est que la non-violence n'existe pas dans ce cas. C'est parce que, vraiment, personne ne veut détruire ce nouveau type de violence. C'est comme liberer un canari de sa cage après 5 années pendant lesquelles il n'a pas connu un autre type de vie. Premièrement le choque interviendrait, l'impact d'un monde différent. Ensuite la confusion. En recevant quelque chose de bon, mais difficile à comprendre, il ne sait pas ce qu'il doit faire avec lui. Bientôt, la mort. Comment sauver les gens quand ils ne veulent pas, au-moins, se sauver?

Bellum omnium contra omnes

Atunci cand un tanar este bruscat pe strada se numeste violenta; atunci cand batranului din metrou ii este furat portofelul se numeste violenta; atunci cand un copil isi arunca ambalajul de la ciocolata intr-un parc se numeste violenta; atunci cand un paparazzi urmareste non-stop o persoana publica se numeste violenta; atunci cand un barbat il ucide pe altul pentru a salva viata sotiei sale se numeste violenta; atunci cand un criminal este condamnat la moarte se numeste violenta; atunci cand un hacker inventeaza un nou virus se numeste violenta; atunci cand cineva imi spune ca "numai cu noile iaurturi cu bacterii active de fermentare poti avea o familie fericita" se numeste violenta. Ce e violenta? Pana la urma cine decide asta? Legea? Etica? Fiecare dintre noi? Cel mai probabil o combinatie a celor trei.
Violenta poate fi privita in doua modurii. Din punctul de vedere al persoanei ce sufera din cauza violentei si din cel al persoanei violente. Tu care dintre ele esti? Daca raspunsul nu iti vine in minte in primele doua secunde nu e decat pentru ca, probabil, nu exista nici macar doua persoane care sa nu fi intrebuintat violenta in diferitele sale forme. Pot spune ca ai fost, esti si vei fi violent toata viata ta fara ca macar pentru cateva secunde sa analizezi si sa clasifici ceea ce faci. Esti violent fata de cei din jur atunci cand nu le accepti parerile, indiferent daca explicatiile lor sunt relevante sau nu, atunci cand esti intolerant fata de diferite categorii sociale sau chiar fata de familia ta, atunci cand dai un exemplu negativ fara sa iti dai seama, chiar si atunci cand cumperi spray-uri cu aerosol. Si totusi cred ca cel mai trist e faptul ca persoana de care abuzezi cel mai mult intr-un mod inteligent si practic de necombatut esti tu insuti. Zi de zi te fortezi sa corespunzi unui anumit ideal pe care il imbratisezi indiferent de ceea ce semnifica. Gandeste-te la copilarie. Mai tii minte care erau idealurile tale atunci cand aveai 6-7 ani? Probabil ca erau proiectari minuscule ale lumii la fel de mici pe care o vedeai. Pe masura ce descoperi lumea, iti dai seama ca nimic nu este atat de simplu precum parea la inceput. Acum priveste-ti viata. Schimbare covarsitoare. A trebuit sa te schimbi, iar aici ar putea exista singurele tale "circumstante atenuante" - viata in toate aspectele sale a avut un impact extrem de violent asupra ta si ai fost nevoit sa te schimbi pentru a-I putea face fata.
Sa facem o legatura cu un domeniu diferit, arta. Abstractizarea ce apare in picture, de exemplu, provine tocmai din constientizarea violentei ascunse ce manipuleaza si transforma oamenii, creand clisee ce transforma viata intr-un simplu cod. De aceea oamenii nu mai sunt fiintele capturate in scene cotidiene din picturile secolului 17, ci simple pictograme prinse in variante ironice ale vietii de zi cu zi. Mentalul este vazut in obiecte concrete, ca in operele lui Renee Magritte de exemplu, tocmai pentru a trage un semnal de alarma.
Ranile, deci, pe care le lasa violenta pe care nu o constientizam dar care reprezinta o constanta pentru vietile noastre, sunt mult mai profunde decat cele de pe genunchii unui copil care a cazut in parc. Cicatriciile nu apar pe corpul nostru, nici macar in privirea noastra, pentru ca violenta ce le provoaca este imperceptibila. In schimb, ele patrund in subconstient, trimitandu-ne semnale diferite si contradictorii. E exact ca atunci cand te uiti la teleshopping si esti convins in a cumpara un "minunat" aspirator portabil care se dovedeste a fi, cand ajunge acasa, in afara de defect, total inutil. Esti facut sa crezi ca anumite decizii din viata ta iti vor fi utile, pentru ca sunt promovate intr-un mod stralucitor. Aceasta este violenta: inocularea unei imagini - stereotip asupra oamenilor pentru a-I transforma in indivizi usor de controlat si de manipulat.
Violenta cea mai amenintatoare in secolul XXI nu este cea fizica, desi este clar ca si aceasta ocupa un loc important, ci cea proprie societatii de consum. Omul este transformat in simplu consumator, gandirea si spirital sau sunt modificate la un nivel atat de ridicat incat imaginea sa sperie, socheaza, debusoleaza.
E inutil de spus ca, in general, violenta provine de la nesiguranta si frica omenirii si ca, pentru victime, ea are consecinte tot restul vietii, ca exista situatii in care folosirea sa este controversata (ca, de exemplu, uciderea unui om care a comis, la randul sau, mai multe crime), ca cercul vicios al violentei nu poate fii distrus in nici un fel decat prin non-violenta, indiferent de situatie, sau ca oamenii se auto-distrug pentru ca, indiferent de apropierea dintre ei, nu vor exista niciodata o intelegere si o empatie perfecta intre ei. Exista cazuri ce au confirmat, de-a lungul anilor, aceste lucruri: razboaiele, fie ele politice sau religioase, izbucnesc din cauza diferitelor temeri; uciderea lui Nicolae si a Elenei Ceausescu este si acum contestata; Hitler a avut un tata distant si violent; Kurt Cobain era abuzat, in liceu, de colegii sai; Jim Morisson a fost considerat un idol, un stereotip pentru tinerii din anii '60-'70, si totusi a clacat; la fel si Marilyn Monroe. Pentru ca nimeni nu este invulnerabil in fata revelatiei adevarului.
"Bellum omnium contra omnes" nu este o expresie desueta, atribuita doar unei anumite categorii de oameni. Luptand pentru a-si realize interesele, omul nu realizeaza ca, de fapt, lucreaza in defavoarea sa. Pe plan fizic poate exista un vag progres. In schimb, din punct de vedere mental exista o involutie permanenta. Individul se cantoneaza in aparente, in "trend-uri", in mediocritate, devine mai putin om, exact ca in "Ferma Animalelor" de George Orwell, numai ca in sens invers.
Atunci cand publicitatea te manipuleaza sa folosesti un scut de obiecte materiale pentru a te proteja de adevarata viata si, eventual, de gandire individuala, atunci cand un model de viata ofera constant exemple negative, promovand cultul mediocritatii, atunci cand creativitatea, individualitatea si gandirea diferita de cea a maselor pot fi trendy sau nu n-ar trebui sa se mai puna problema violentei fizice. Pentru ca ea nu este amenintarea cea mai mare. Cel mai trist este ca non-violenta nu exista in acest caz. Asta pentru ca nimeni nu vrea, de fapt, sa o distruga. Ar fi ca si cum ai elibera un canar din colivie dupa 5 ani in care nu ar fi cunoscut o alta viata. Mai intai ar interveni socul, impactul unei lumi diferite. Apoi confuzia. Primind ceva bun, dar de neinteles, el nu stie ce sa faca cu el. In curand, moartea. Cum poti salva oamenii atunci cand ei nu vor sa fie salvati?

Liceul Teoretic "Lucian Blaga"- Bucuresti , Romania




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